Des femmes de toutes les générations, militantes ou simples mères de famille, ont participé à la révolution égyptienne. L’espoir les a prises par surprise. Elles ont bravé leur peur, mais il leur a fallu affronter un autre obstacle de taille : celui d’être femme dans une société qui voyait leur place ailleurs que sur la place Tahrir. Jihad Darwiche dessine le portrait de femmes ordinaires emportées dans la tourmente de la révolution de janvier 2011. Une fresque de la vie au Caire, un hymne à l’espoir et au combat pour la liberté, accompagné avec lyrisme et tendresse par le piano d’Henry Torgue.